Premières expériences et engrenages : Chapitre 56 : Séance d’habillage

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il y a 1 an

Chapitre 56 : Séance d’habillage

Lady Christine sortit des pinces à seins possédant des poids et un système de vibrations, celles que j’avais observées sur les tétons de Nathan, hier. Elle me les appliqua en serrant la molette au maximum de sa force. Je voulais hurler, mais si j’avais tenu au fouet hier, je ne céderais pas pour deux pinces, aussi douloureuses pouvaient-elle être.

Le problème, c’est que tout cet équipement me donnait une excitation qui permettaient aux pointes de pénétrer un peu plus dans mon gland et dans ma verge. Et, bien que ces dernières n’étaient pas suffisamment effilées pour traverser la peau, elle suffisait à me stimuler encore plus.

Du liquide s’écoulait maintenant de mon sexe. Maitresse Diane s’en aperçut et l’excita un peu plus pour en récolter un maximum sur son doigt avant de m’en frotter les dents.

Lady Christine poursuivait son travail d’habillage. Elle m’attacha trois anneaux, articulés sur un bord, au-dessus de mes couilles, les étirant. Bien que leur poids ne fît que deux cents grammes chaque, ridicule par rapport au pack de bouteille, je savais qu’elles ne me quitteraient pas de la matinée et, si je n’avais pas été gentil, de la journée me menaçait Ladyscar.

Maîtresse Diane m’enfila un masque de latex de la forme d’un loup aux cavités extrêmement larges, découvrant mêmes mes sourcils et disposant de deux opercules verticaux pouvant se baisser et me masquer les yeux et la vue. Surtout il ne recouvrait ni l’ouverture du nez, ni celle de la bouche. Elles me montrèrent le bâillon en forme de boule qu’elles avaient prévu m’enfourner. Il disposait comme celui de Nathan d’une ouverture large en son centre et je donnais mon accord.

Elles m’attachèrent également un collier de chien, plus joli que celui que Nathan avait hier, mais beaucoup moins discret avec ses faux diamants ; la laisse assortie suivit. Comparé avec le fouet, le gode et la pisse, j’appréciais presque ces instants même si les pinces étaient vraiment très déplaisantes.

Ladyscar me détacha les chevilles alors qu’au fur et à mesure elles descendaient sur mon corps. On me présenta mes nouvelles chaussures. Le talon était haut et très fin, mais ce n’était en rien comparable à celles que portaient Nathan hier. Elles avaient eu une autre surprise à me proposer, à m’imposer devrais-je dire.

Dans leurs mains apparurent pour Lady Christine une petite culotte de dentelle, quadrillée large, qui ne cachait absolument pas la cage et disposait d’un large trou à l’arrière pouvant même recevoir le gode éléphantesque de la veille. Des bas en résille, que Ladyscar me présenta avec un sourire charmeur, comme un cadeau dont je devais apprécier sa juste valeur et finalement un porte-jarretelle dans les mains de Maitresse Diane. On dirait les trois fées à la naissance de la belle au bois dormant ou celle les trois mages. Dans tous les cas j’espérais ne pas finir aussi mal qu’eux.

Tout était assorti à mon corset rose. Je me laissai habiller. J’avais honte. Mais je les laissai faire ; humiliation totale, je les aidai même.

  • Détachons-le totalement maintenant, dit Maitresse Diane.

A peine mes poignets libérés des montants, ils furent à nouveau pris dans les menottes et les chaînes de prisonniers. J’étais assis sur le bord du lit, lorsqu’elles réglèrent les distances, hésitant sur les dimensions à mettre. Elles m’accordèrent vingt centimètres entre les chevilles, les fixant assez haut pour ne pas abimer les chaussures. Puis dix centimètres pour les poignets et, me tenant debout, je ne pouvais pas les monter au-delà de mon ventre.

  • Alors ? me demanda Maitresse Diane. Tu ne te trouves pas mignonne comme cela ? ajouta-t-elle, s’écartant du miroir pour que je puisse me contempler.

  • On dirait une poupée, grommelai-je dans la boule de plastique.

  • Le maquillage, s’écria-t-elle. Mais oui. On va la maquiller. Sur elle cela va être génial, presque pas vulgaire. Je suis sûr qu’on peut la faire passer pour une femme.

Elle s’en alla alors. Lady Christine me fit rasseoir puis resserra le corset. Mince je l’avais oublié celui-là. Elle passa ensuite à la ceinture qui enserrait le porte-jarretelle.

  • Serre les lacets de tes chaussures ! m’ordonna-t-elle

Le corset était devenu si étroit que je ne pouvais plus me pencher pour atteindre mes pieds. Plus j’essayais, plus elles riaient.

  • C’est normal, me finit par dire Ladyscar en les resserrant pour moi. Il faut qu’ils tiennent bien. Tu n’as jamais marché avec des talons.

J’hésitai à une réplique sarcastique mais je me retins. A travers le bâillon, cela n’aurait probablement rien donné. Il fallait que je tienne le weekend, sachant que me connaissant, avec ma langue bien pendue, je ne tiendrai pas la matinée.

  • Fais quelques pas !

Je chus à mon premier, me tordant la cheville.

  • Attention, maladroit, me critiqua-t-elle. Ne pense pas à marcher normalement. Assure-toi que ton pied soit stable avant de lever le suivant.

Elle me laissa m’entrainer autour du lit en me soutenant.

  • Tu as l’air si ridicule, un bouffon, c’est parfait, commenta Lady Christine. Alors que te manque-t-il d’autre ? me demanda-t-elle.

Je réfléchis à ce que portait Nathan hier.

  • La queue ? marmonnai-je interrogatif.

  • C’est ça. Tiens je t’en ai préparé une belle grosse, bien lourde.

Elle sortit de dessous le lit un plug asymétrique et plus gros que celui que ma maitresse m’avait offert. Il était pourvu d’un manche de bois large recouvert et alourdi de laiton qui devait chercher à le faire sortir de sa position sur lequel avait été fixé de longs crins que je supposais provenant d’un vrai cheval et qui descendaient jusqu’au sol.

  • Imagine que quelqu’un marche dessus pendant que tu te déplaces, cela pourrait te l’arracher du cul, sans prévenir. Ce serait dommage ! ajouta-t-elle sans le penser.

Son sourire n’indiquait aucun regret, même des envies. Je devrais faire attention derrière moi. Elle le maniait comme un poignard, prêt à me l’enfoncer.

  • Avec ou sans lubrifiant ? me demanda-t-elle.

  • Avec, grognai-je devant la taille de l’objet, avant de me reprendre. Quel lubrifiant ?

  • Avec. D’accord, répondit juste Lady Christine, esquivant ma question.

  • Tu as répondu trop vite, me morigéna Ladyscar.

  • Tu as de la chance. Ben n’a pas refait de pâte pour l’instant.

  • Qu’est-ce que c’est ?

  • Juste de la vaseline, enduit de quelques piments et de tabasco. L’effet ne sera pas aussi durable ni intense mais j’espère que ton petit cul de donzelle appréciera quand même mon effort.

Les grains de piment se voyaient encore sur le plug. Je n’étais même pas certain de profiter d’un quelconque effet cireux et glissant. Elle ne chercha même pas à me l’enfoncer progressivement comme le gode. Heureusement mon anus avait gardé durant la nuit une certaine dilatation. Le pousser, même si cela fut fait en quelques mouvements, ne fut douloureux qu’une fois à son entrée.

  • Tu ne cries jamais. C’est parce que tu aimes avoir mal, me demanda Lady Christine, tirant sur la chaînette qui reliaient les pinces de mes tétons.

De nouveau je me retins. Je ne savais pas qu’elle était la meilleure attitude à respecter, la meilleure stratégie pour passer le weekend en vie.

  • Nous oublions encore une chose que portait Nathan hier, me murmura Lady Christine à l’oreille avant de me mordre le lobe.

J’essayais de me rappeler, mais rien ne me venait à l’esprit, accoutré comme je l’étais.

ha les corsets....
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